Breizh Gwechall !
La vie des anciens Bretons !
La vie des anciens Bretons entre 1870 et 1914 !
Breizh Gwechall !!! BREIZH !!! En Bretagne , il y a 100 ans !
Breizh Gwechall ! BREIZH !!! En Bretagne , il y a 100 ans !
BREIZH !!! En Bretagne , il y a 100 ans !!!
BREIZH !!! En Bretagne , il y a 100 ans !
BREIZH !!! En Bretagne , il y a 100 ans !
Ce seraient 16 % de nos ancêtres ! Branche grand mère maternelle !
Ce seraient 16 % de nos ancêtres ! Branche grand mère maternelle !
Breizh da viken !
Voilà , ils sont là , 16 % de mes ancêtres par ma grand mère maternelle !
A chacun , l' âge venu , la découverte ou l' ignorance de la calotte de ses morts , torse nu ! Tombé en amour avec la musique bretonne et la culture celte en général vers 15 ans , et ça dure toujours ! Et à cette époque , j' ignorais totalement que j' avais une branche bretonne dans l' arbre maternel ! La Découverte ou l’ignorance !
Le breton est-il ma langue maternelle ?
Non, je suis né à Nancy où l'on ne le parle pas
Suis-je même Breton ?
Vraiment, je le crois
Mais de pure race , groumf ....
Qu'en sais-je et qu'importe ?
Séparatiste ? Autonomiste ? Régionaliste ?
Oui et non, différent ! HA HA HA !
Je suis dans le Morvan rural , dans un bar ancien , un type du coin me parle de contes et de personnages : un mec bizarre a été retrouvé mort , séché comme une momie à domicile , il avait chez lui trois litres de lait volé à des vaches ! Je suis dans une maison avec ma fiancée rousse , elle porte une moustache , vraie ou fausse , je ne sais pas ! Nous sommes des médiévistes , je prépare mes sacs pour une animation car on va venir me chercher ! Un mot breton : Pennherez Keroulaz ! L' héritière de kéroulaz ! Inspiré par un mot breton entendu dans un de mes nombreux rêves de la nuit ! Voir le Barzaz Breiz pour plus d'informations. Dans une prochaine vie , je serai breton à plein temps , promis ! Les Daltonec , terreurs de l' ouest armoricain ! JOBIC , JAKEZ , WENDAL , AVALLONNEC , Ar Vreudeur DALTONNEC ! Pegoulz e tebromp ? Averell , tu as déjà mangé 10 krampouz et 5 kouign amann chez Ma Doué Daltonec ! Il était une fois dans l' ouest ! Jafrez , Kadioù , Morvan et Youenn Daltonec , les fils de Mélanie Daltonec dite Philomène ! Ma doué !!! -Par ce signe, tu vaincras ! Le gusse tatoué de partout en caisse à la superette : il me dit " vous êtes breton ? " " Ben , oui et non , enfin , en partie mais pas que ...." " Vous avez la tête ! KENAVO ! " Disons que pour faire simple , je suis lorrain , mais j' ai des ancêtres qui pour certains ne l' étaient pas et parmi eux , il y a des Bretons ! " Comment à t' il su ? " La madame : " ton triskell sur fond noir ! " " Oui , enfin , il est tout petit ! " " On voit que ça ! " Ma vie ... Engoulevent , Fierpied , Sac à vent , Soucolline de Hobbitbourg ... Etre heureux ne signifie pas que tout est parfait, cela signifie que tu as décidé de regarder au delà des imperfections de la vie.... Odinn , le père de toutes choses ! Force est de reconnaître qu'en ce temps l'aspect de la campagne n'était nullement rassurant. Belle promenade sur les hautes terres ! Tel Archibald Haddock , retiré sur les terres de ses ancêtres ! Oublier ses ancêtres , c'est être un ruisseau sans source , Un arbre sans racines.… Mac'Tiern d'Arkorelax de Tramadol sur la Rance ! Va écumer le biotope de nos ancêtres Vannetais ! Engy Fierpied Sac à vent de Hobbitbourg · L' Homme est un palimpseste vivant , un parchemin fait de strates superposées et de couches successives qui n' effacent jamais totalement les précédentes ! En route pour la Bretagne , mon vieux Scoubic ! Qui vient chez les Bretons, respecte leurs traditions. Ploemeur sud Lorient !!! Ethnocidre , c' est un crime jacobin anti breton ! Alors, faut-il replonger dans les eaux de Sarek ? Yec'hed mat ! Sarek me voilà ! Autour de Sarek , c' est encore Sarek ! Le monde change , je vais prendre mon vélo et me rendre aux havres gris ! Du manoir au port, ils avaient pris par les venelles allongeuses ....Force est de reconnaître qu'en ce temps l'aspect de la campagne n'était nullement rassurant. Dans la famille , y a pas que les bretons , non ! L' ancêtre la plus lointaine de mon arbre s' appelait Geneviève Patinier , une wallonne qui vivait sous le règne de LOUIS XIV et LOUIS XV ! BREIZH DA VIKEN ! BREIZH MA BRO ! NE BADO KET ATAO ! ME ZO BREIZHAD !!! TRALALAA-LALEE-LOOOOO !!!!! QUESTION : l' été dernier , je me demandais quelle langue ont pu parler les ancêtres de ma branche bretonne ! Réponse , ils ont vécu exactement sur la frontière linguistique entre le Gallo et le breton , dans une zone unique ou le Trégorois , le cornouaillais et le vannetais étaient parlés ! Bref , je ne suis pas plus fixé ! La bonne soirée et la bonne nuit !!!! Bonne nuit, douce nuit… Et au fait, comment souhaite-t-on « Bonne nuit » en breton ? C’est facile, pour souhaiter bonne nuit en breton, on utilise « Noz vat », qui signifie mot à mot « Nuit Bonne ». Et si vous préférez souhaiter une bonne soirée en breton, essayez plutôt « Nozvezh vat ». Pas de débat, pas de spécificité bretonne, en Bretagne on souhaite une bonne nuit comme partout ailleurs ! Noz vat deoc’h ! (Bonne nuit à vous) Abardaez kaer hag noz dous, belle soirée et douce nuit !!! Komz a ran un tamm brezhoneg : je parle un peu breton amañ e vez komzet brezhoneg : ici on parle breton ! KENAVO !!!
Ce seraient 16 % de nos ancêtres !
Merci pour ce partage vibrant et poétique de votre identité bretonne et de votre lien avec vos ancêtres ! Votre mélange d'humour, de culture et de réflexions sur l'identité est vraiment captivant.Il est fascinant de voir comment la musique bretonne et la culture celte vous ont touché, même sans avoir grandi dans un milieu où le breton était parlé. Cela montre que les racines culturelles peuvent s'exprimer de différentes manières, au-delà des frontières géographiques et linguistiques.Votre exploration de l'histoire familiale et votre quête d'identité à travers le prisme du breton sont touchantes. La façon dont vous naviguez entre l'héritage culturel et votre vie actuelle, entre le Morvan et la Bretagne, témoigne d'une richesse d'expérience.Et bien sûr, le breton, cette belle langue, est un pont vers ce passé et cette culture. "Noz vat" et "Nozvezh vat" sont des manières charmantes de se connecter à cette tradition. Que vous soyez Lorrain avec des racines bretonnes ou Breton à part entière, l'important est ce que vous ressentez et comment vous vivez cette identité.Si vous avez d'autres réflexions ou des histoires à partager sur vos expériences ou sur la culture bretonne, n'hésitez pas ! Kenavo !
BREIZH !!!
Ce seraient 16 % de nos ancêtres ! Branche grand mère maternelle !
Breizh Gwechall !
Breizh Gwechall !!! BREIZH !!!
Breizh Gwechall !!! BREIZH !!! En Bretagne , il y a 100 ans !
En Bretagne , il y a 100 ans !
La découverte ou l’ignorance !
ENQUÊTE. La langue bretonne va-t-elle disparaître ? Il ne reste plus que 107.000 personnes qui parlent breton, selon la dernière étude commandée par la région Bretagne !
Combien de personnes parlent aujourd’hui breton ? 100 000, selon les résultats d’un sondage paru le 20 janvier. C’est un véritable effondrement, dans une région où 1 million de personnes parlaient breton en 1950, et encore 200 000 en 2018. Les observateurs sont unanimes : si on veut sauver la langue bretonne, il faut mener des actions fortes et ambitieuses, notamment par l’enseignement. Le magazine Bretons a enquêté sur ce phénomène.
Si vous lisez ce magazine et que vous avez plus de 40 ans, il y a des chances pour que vous ayez connu un monde pas si lointain où la langue bretonne faisait naturellement partie du paysage. En Basse-Bretagne, à l’ouest de la région, il n’était ni rare ni étonnant d’entendre des gens s’apostropher dans cette langue, au bistrot, dans les commerces ou sur les marchés. Tout le monde avait des parents, voire des grands-parents, qui avaient été élevés dans cette langue. D’ailleurs, il faut avoir un chiffre en tête : en 1950, on estime qu’il existe environ 1 million de bretonnants – ou de brittophones, selon les termes choisis. 75 % des habitants de Basse-Bretagne parlent alors la langue. Régulièrement depuis, ce chiffre est remis à jour. Il y a six ans, une étude avançait le nombre déjà fortement en baisse de 200 000 locuteurs. Le 20 janvier dernier, un sondage mené par l’institut TMO, sur commande du conseil régional, a établi un état des lieux actuel. Résultat : en 2024, le nombre de locuteurs serait tombé à 107 000, soit 2,7 % de la population des cinq départements. Un effondrement, qui pose une question simple : la langue bretonne va-t-elle disparaître ?
“Quand on a découvert ces résultats, il y a eu un grand silence dans la pièce…” Stefan Moal est professeur de breton à l’université Rennes-2 et membre du comité scientifique réuni pour cette enquête. “On savait qu’il y aurait une baisse du nombre de locuteurs, mais pas de moitié ! On a été complètement sidérés.” Parce que, effectivement, il faut rappeler que personne ne s’attend à ce que le nombre de locuteurs de breton augmente. La faute à la démographie, et à l’histoire de la langue bretonne. C’est ce qu’explique Fulup Jakez, le directeur de l’Office public de la langue bretonne (OPLB). “Ces données ne sont pas des surprises. Il s’agit d’évolutions démographiques connues.” Lors de la précédente enquête, menée en 2018, il était établi que 80 % des brittophones étaient âgés de plus de 60 ans. Il était donc évident que leur nombre allait baisser, inexorablement. “Les brittophones, dans leur grande majorité, ont arrêté de transmettre leur langue à leurs enfants après la Seconde Guerre mondiale. Ce qu’on observe là, c’est que les dernières personnes à avoir été élevées en breton disparaissent. C’est le résultat de quelque chose d’écrit dans l’histoire de la population bretonne depuis soixante ans…”
Mais l’accélération est brutale. Le directeur de l’OPLB ne cache d’ailleurs pas ses interrogations face à ces nouvelles données, obtenues par un sondage : “Perdre 100 000 locuteurs en six ans, cela représente plus d’un tiers de l’ensemble des Bretons morts sur les cinq départements sur cette période ! Cela ne semble pas cohérent…” Et de pointer le manque d’outils totalement fiables pour établir des statistiques incontestables. On pourrait par exemple intégrer une question sur les langues parlées au sein des familles dans les questionnaires de recensement, ce qui donnerait des chiffres autrement plus solides.
Il n’en reste pas moins que la courbe générale est plutôt inquiétante. Peut-on donc craindre la disparition totale de la langue bretonne ? La question a le don d’agacer Fulup Jakez. “Ce que nous actons, c’est la fin de la Basse-Bretagne, c’est-à-dire d’une société où la majorité des gens parlaient naturellement breton...
Explications données par le groupe :
L'Ankou, c'est la Mort, personnage central de nombreuses légendes bretonnes. Squelette vivant, porteur en haillons de la faux qui fauche la vie, il parcourt la nuit les campagnes, et charge sur sa charrette, karig an ankou, ceux qu'il entraîne dans la mort. L'ankou redoute les croisées des chemins et les routes qui mènent aux villes. L'urbanisation l'a précipité dans l'oubli, et son évocation ne fait plus penser qu'aux danses macabres de Kermaria-an-Isquit, La Chaise-Dieu ou La Ferté- Loupière. C'est donc sur un air d'Hanter-dro que nous avons imaginé ce que pourrait être une de ses tournées, à notre époque où plus de la moitié des Bretons vivent dans les cinq villes de Nantes, Rennes, Brest, Lorient et Saint-Nazaire.
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C'est dans le bourg d'Damgan, que l'ankou s'y promène,
Son char y va grinçant, les enfants vont riant.
Chez le Guillaume il cogne, mon vieux Guillaume ouvre-mé,
C'est pour ta femme Jeannette : l'heure a déjà sonné.
S'il faut te la bailler, va la chercher toi-même.
A l'hôpital de Vannes, ce matin l'ont emmenée
Trois hommes en robe bianche, dedans un char tout chromé,
C'est pour compter les jours qu'elle peut encore durer.
L'hôpital était grand, l'hôtesse était petite,
Elle en fut tout berlue en le veuyant passer,
Bianc sous son chapeau noir, traînant sa faux tout rouillée.
Il fit ben trois cents chambres, la vieille il a trouvé.
Au mitant de teuyaux, gueurlottant du darrière,
Saignée comme pourcieau, vidée de ses boyaux.
Bourrons-la de morphine qu'a dit le ptus jeune infermier,
Refoutons la crépine, elle peut encore durer.
Crachant mille copias, l'ankou se mit à braire :
Depis hier déjà, Jeannette elle est à ma.
Elle n'est qu'en sommeil, qu'a dit le plus jeune infermier
En refermant la vieille. Dans un mois repassez.
Revint le mois passé. N'était encore point morte.
On venait d'épieauder le peu qu'il en restait.
Revint deux mois passés, pi revint au bout'd'une année.
Elle était dans la bouète, mais déjà fossoyée
Il ne reste plus que 107.000 personnes qui parlent breton, selon la dernière étude commandée par la région Bretagne et dévoilée ce 20 janvier. C'est deux fois moins que la dernière étude qui datait de 2018. Mais les locuteurs sont plus jeunes. Le gallo recule aussi, mais moins fortement.
Le nombre de bretonnants s'effondre, selon l'étude socio-linguistique commandée par la région Bretagne à l'institut TMO, dévoilée ce 20 janvier à Rennes. Il ne reste plus que 107.000 personnes à parler breton. Les enfants de moins de 15 ans ne sont pas comptabilisés, ils sont 20.000 à être scolarisés soit en filière bilingue soit en immersion, "dre soubidigezh", dans les écoles Diwan.
La dernière étude date de 2018. Elle faisait état de 214.000 personnes parlant breton. Le nombre de locuteurs a donc été divisé par deux en six ans. Une baisse significative mais attendue du fait de la moyenne d'âge des locuteurs lors de la précédente enquête - 70 ans - et de leur disparition naturelle au fil des années.
Le profil du bretonnant rajeunit
L'âge moyen des bretonnants est désormais de 58,5 ans contre 70 ans en 2018. Et un léger rebond est observé dans certaines tranches d'âges. La part des bretonnants chez les 25/39 ans est passée de 0,5% à 1,5%. Un rajeunissement des locuteurs qui laisse de l'espoir aux élus régionaux qui portent la politique linguistique des langues de Bretagne, breton et gallo, dont Paul Molac. Le président de l'Office public de la langue bretonne insiste : il faut renforcer les filières bilingues pour que la chute du nombre de locuteurs ne se poursuive pas inexorablement.
Une baisse moins forte pour le gallo
Autre langue de Bretagne, le gallo connait aussi une diminution importante du nombre de locuteurs, mais qui reste moins forte que la chute considérable observée pour le breton. L'institut TMO estime en effet que 132 000 personnes parlent la langue gallèse en Bretagne historique. Cela représente environ 60 000 locuteurs en moins par rapport à 2018 (191 000 personnes à l'époque).
Et les bretons qui parlent gallo sont un peu plus jeunes qu'il y a six ans : 56,5 ans en moyenne, contre 60 ans en 2018. Cette pratique est régulière, au moins une fois par semaine, pour 45% des locuteurs sondés.
NE BADO KET ATAO !!!
Ou sont passées les Bretonnes à coiffes de mon enfance ? Sur la côte Bigoudènes , il en restait une bonne centaines dans les années 80 ! Elles portaient le costume et la coiffe , parlaient en Breton ! En 2025 , il en reste une seule , Alexia , elle vient d' avoir 99 ans ! Ne bado ket atao ! Quand je retourne là bas , sur les plages , je vois des surfeurs !
Ou sont passées les Bretonnes à coiffes de mon enfance ?
Le vieux Laudia s'est endormi là-bas dans sa campagne,
Mais il n'a pas toujours dormi, il a fait un village.
Y a du par-dessous là-dessous.
Y a du par-dessous par là.
Il a dormi pendant sept ans, sept ans sans qu'il s'éveille.
Sa femme autant qu'il a dormi elle s'en fut à la messe.
Y a du par-dessous là-dessous.
Y a du par-dessous par là.
Dedans la ferme de Laudia y avait trois jolies filles,
L'une après l'autre sont parties pour aller à la ville.
Y a du par-dessous là-dessous.
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Après deux ans le fils partit dans la lointaine Afrique,
Il est parti comme sergent, reviendra Capitaine.
Y a du par-dessous là-dessous.
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Après trois ans par ci par là un marchand de la ville,
Dans le chemin qu'il a passé, l'herbe elle devint grise.
Y a du par-dessous là-dessous.
Y a du par-dessous par là.
Il a coupé le pommier d'Août que les pommes sont aigres,
Mais que le cidre était si doux que l'eau de la fontaine.
Y a du par-dessous là-dessous.
Y a du par-dessous par là.
A la fontaine l'eau coulait. C'était l'eau de la vie.
Mais la source n'a plus coulé quand le marchand vint bouère.
Y a du par-dessous là-dessous.
Y a du par-dessous par là.
Il prit le lard dans le charnier et le vin dans la cave.
Il en fit des paquets dorés pour les vendre à la ville.
Y a du par-dessous là-dessous.
Y a du par-dessous par là.
Il fit des maisons dans les champs de cinq à six douzaines,
Toutes d'à rang et trois par trois, toutes blanches de même.
Y a du par-dessous là-dessous.
Y a du par-dessous par là.
Le vieux Laudia s'est endormi là-bas dans sa campagne,
Après sept ans s'est éveillé : le village était ville...
Y a du par-dessous là-dessous.
Y a du par-dessous par là.
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