« La nuit est propice à la réflexion, au silence, à la peur aussi. C’est dans l’obscurité qu’on dort, qu’on se tait, qu’on voit les fantômes. » « Inutile d’employer un thermomètre de haute précision pour prendre la température d’un fantôme. » « Je pense, donc je sue. De trouille, évidemment. » « Ne sommes-nous pas, comme le fond des mers, peuplés de monstres insolites ? » « La peur est la sœur de l’imagination. » « Une bonne terreur, de temps en temps, vous remet les idées en perspective. » « Je ne crois évidemment pas aux fantômes. Si vous en aviez rencontrés autant que moi, vous n’y croiriez pas non plus. » « Vivre dans un camp de nudistes doit sans doute gâcher tout le plaisir qu’on attend d’Halloween. » « Si la nuit est noire, c’est pour que rien ne puisse nous distraire de nos cauchemars. » « Je rigole face au danger, ensuite je cherche un trou pour me cacher. » « Il est bien peu de monstres qui méritent la peur que nous en avons. » « Nos cauchemars, c’est notre âme qui balaye devant sa porte. » « Le timide a peur avant le danger, le lâche au milieu du danger, le courageux après le danger. » « Si vous n’aimez pas les cercueils, on vous fera monter de la bière. » « Fantôme. Signe extérieur évident d’une frayeur interne. » « La chauve-souris n’est pas un oiseau mais elle ne le sait pas et elle continue de voler et de pondre des œufs. » « Si tu as peur de la mort, n’écoute pas ton cœur battre la nuit. » « Les cadavres ont ceci de commun avec les pots de yaourts que leur date de fabrication est inscrite sur la boîte. » « Le sommeil n’est pas un lieu sûr. » « Dans ce monde, l’on n’a que la terreur pour se défendre contre l’angoisse. » « Le jour a des yeux, la nuit a des oreilles. » « Plains ceux qui ont peur car ils créent leurs propres terreurs. » « Dis-moi qui tu hantes, et je te dirai qui tu es. » « Les soupçons dans les pensées sont comme les chauves-souris parmi les oiseaux. » « Elles sont bien noires, les pensées des nuits blanches. » « Il y a le peureux qui regarde sous son lit, et le peureux qui n’ose même pas regarder sous son lit. » Pleine lune , tempête , feuilles mortes , pluie , masques , citrouilles , choucroute ! Fields of the Nephilim , Sisters of Mercy , the Mission ! On est dans les temps ! Et les siths rouillent !!!!
Je suis né en Ecosse en 1469 et je dois rester en contact avec cette terre en buvant chaque soir un whisky sinon , je risque de mourir ! Les vampires , c' est pareil mais en buvant du sang ! Bonne nuit , loin des goules et des succubes ! Dans la bonne terre de Roumanie ! Engy De Baskerville : Qui s'y frotte s'y pique !!!
Famille de Bourg : Bourg (homonymie), Bourke (homonymie), Bourque et Burke. La famille de Bourg (en latin médiéval de Burgo), est une famille faisant partie de la grande noblesse normande, installée en Angleterre puis en Irlande. Cette famille s'est installée en Angleterre après la bataille de Hastings (1066), où le nom fut anglicisé en de Burgh. La branche principale se fixa en Irlande en 1175 d'où le nom se transforma en Burke (Comté de Galway) ou Bourke (Comté de Mayo). Certains descendants gaëlisant même leur patronyme en Mac William ou Mac Liam.
Un membre de la famille, Hubert de Bourg, comte de Kent, est régent et justicier d'Angleterre et d'Irlande de 1216 à 1232, tandis que son frère (?) Guillaume fonda la branche irlandaise de la famille et devient seigneur titulaire de Thomond et de Limerick.
Le fils de ce dernier, Richard de Bourg, justicier d'Irlande de 1228 à 1238, fait la conquête du Connacht en 1235, et son fils Gautier de Bourg est nommé comte d'Ulster en 1264. Richard le Comte Rouge (mort 1326), fils de Gautier, seigneur du Connacht et successeur de son père pour le comté d'Ulster, fait la conquête de tout le nord de l'Irlande.
Le meurtre en 1333 de Guillaume le Comte Brun, petit-fils et successeur de Richard le Comte Rouge fut à l'origine d'une guerre civile familiale (1333-1340).
Deux membres de la branche cadette Edmond Albanach et Ulick (gaélique Uleaigh) Bod an Balcuigh d'Annaghkeen se fondant sur la tradition gaélique de succession par les hommes, saisirent les terres familiales du Connaught qui revenaient à Elisabeth de Burgh la jeune fille de Guillaume le Comte Brun et future épouse de Lionel d'Anvers. Le roi d'Angleterre fut dans l'obligation de valider l'usurpation en accordant son pardon en 1340.
Les deux nouveaux seigneurs se partagèrent le Connaught abandonnèrent leurs noms normands pour prendre ceux de : Mac William Ioachtar c'est-à-dire: clan Haut/Nord des Mac William (Liath) pour Edmund (mort en 1375) d'où sont issus les seigneurs puis vicomtes (1627) et comtes (1785) de Mayo.
Mac William Uachtar c'est-à-dire: clan Bas/Sud des Mac William (Liath) pour Ulick (mort en 1353) d'où les seigneurs puis comtes (1543) et enfin marquis (1646) de Clanricard.
Tu as réussi à remonter jusqu'au 11 ème siècle ou ce sont des hypothèses ? Naan , c' est une famille homonyme ! Famille de Bourg : Bourg (homonymie), Bourke (homonymie), Bourque et Burke. La famille de Bourg (en latin médiéval de Burgo) BURGH , burg , burger , BOURGER , toujours le même nom issu du fort des limes de l' empire romain pour contenir les barbares germains ! Donne bourgeois en français mais aussi faubourg ! Au moyen Age , les juifs allemands obtiennent le statut de Burger , forme francisée en Bourger ( Alsace Lorraine ) , des citoyen intra muros affranchi de la justice féodale ( seigneur et sa famille , ses gens d' armes , ses artisans , palefreniers , gens de maison , ect ) ! En opposition aux extra muros : paysans , serfs , gueux qui sont habitants de la campagne , ruraux !
BOURG
Emprunt au latin, issu du grec
Cette thèse est défendue par très peu d'auteurs qui lui préfèrent un terme latin d'origine germanique. Le mot serait issu du latin burgus qui signifie « fortin » à l'origine, dénomination des petits ouvrages fortifiés construits le long du limes, où le terme est d'ailleurs attesté. Le mot latin vient du terme grec pýrgos, tour. Walther von Wartburg pose aussi cet étymon comme étant partiellement la source du terme français. Ces fortins ou postes frontaliers, lieux d'échanges privilégiés entre les Germanies et les Gaules, ont donné naissance à des agglomérations commerçantes, l'emporium (en Bourgogne uniquement), puis au village ou à la ville non fortifiés.
Emprunt au latin, issu du germanique
Le bas latin bŭrgus , issu du germanique *burg serait conjointement6 ou uniquement la source du terme français. Le mot est attesté chez Végèce au IVe siècle avec le sens de « château fort » (cf. allemand moderne die Burg, terme féminin), puis au siècle suivant avec le sens de « petite ville, village » chez Sidoine Apollinaire. Burgarii dans le Code Théodosien désigne la « garnison d'un fort », puis chez Isidore de Séville « habitants d'un bourg » (cf. vieux haut allemand burgāri « défenseur du bourg », puis « habitant du bourg », moderne Bürger.).
DEBARD
Le nom est fréquent dans la Haute-Loire et les départements voisins (42, 07). Il désigne celui qui est originaire d'une localité appelée Bard. On pensera notamment à la commune de Bard (42), mais aussi à des hameaux à Bournoncle-Saint-Pierre et à Saint-Julien-Chapteuil (43), à Bozas, Saint-Félicien et Saint-Jean-Chambre (07). Le toponyme correspond le plus souvent à la racine gauloise *barro, avec le sens de sommet, notamment sommet de forme allongée. Le -d final est sans doute lié à l'influence de l'occitan "bard" boue)."L'origine de ce nom est indo-européenne l'étymologie de ce nom provient de barre, ce qui signifie : la fortification ce nom précise la localisation de la demeure ancestrale, située sous la protection d'une place forte.