La taverne d\' Engy

La taverne d\' Engy

Gaulix , Localix , Péripherix !

Bref , il est sorti de son trou !

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La bonne auberge ! Gaulix , Localix , Péripherix ! Immobilité forcée à cause d' un traitement pour le genou gauche de Steeve Austin 57 cette semaine ! Merci à madame qui a sorti le vieux pour lui faire découvrir un bon resto du pays MESSIN ! C' est elle qui l' a classé sur le label qualité Local , en plus ! Elle m' a invité , pour elle la douloureuse , donc ! Dans la France d' avant ! Zéro jogging , ici c' est quand même plutôt le Gérard , la Marie Thérèse , ca cause de la mamie Honorine même si on l' a pas connue , ça cause fort aussi ! On se croirait dans le Saulnois natal de madame ou dans mon 54 ancestral , me voilà qui poivre le fromage blanc comme mon grand père , dis voir ! Bref , ça mange des patates rôties , du jambon de pays avec des cornichons , de la tête de veau et compagnie ! Gaulix , Localix , Péripherix ! Le dépaysement à 15 minutes de Metz ! Moyenne d' age : entre 50 et 85 ans ! Je me sens presque jeune ! Au retour , une Belge dans un magasin m' appelle saint Nicolas ! Je lui dis : c' est mon cousin , oui ! Moi je suis sûr qu’on dit « quiche ». Enfin bon... On dit une ouiche lorraine. Ah, un restaurant mexican food !  Abritons-nous, ça va pas tarder à péter !

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Jacques : Ah j’en ai marre. Ah je te jure, les voyages à cheval ça me fatigue.

Hugues : Qu’est-ce que tu as ?

Jacques : Oh j’ai que je commence à en avoir vraiment marre des voyages. Je rêve d’un bon bain dans une bonne auberge. Ah je te jure. J’ai les pastèques.

 

 

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Peter : Alors il faut que vous preniez une décision. Moi je suis à bloc. Dites-moi si c’est oui ou si c’est non.
Christelle : C'est non.

 

 

 

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Peter : Tu aurais envie de manger quoi exactement ?

Steven : Ben je sais pas, par exemple une quiche lorraine.
Peter : Une ouiche
Steven : Quoi ?
Peter : On dit une « ouiche lorraine ».

Steven : Tu es sûr ? Ça fait bizarre, « ouiche lorraine ».

 

 

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Dave : Bien. Faisons un point. Je vais voir Yves dans son restaurant, ça se passe plutôt mal.

Steven : Quoi ? Tu es pas mort.
Dave : Je me suis fait avoiner. Je me suis fait casser la gueule par un mec, une brute. Il voulait que je parle, mais j’ai rien dit du tout, j’ai pas dit où en était l’enquête, malgré la douleur.

Peter : Encore heureux que tu aies pas dit où en était l’enquête, parce que vu qu’on en est au point zéro, si tu l’avais dit on passait pour des busards.

 

 

 

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La bonne femme : Un miracle ! Il marche !
George : Bon, on va pas en faire un fromage. Je m’en suis sorti sans problème. C’est pas vrai, cette affaire. Qu’est-ce que c’est, qu’est-ce que c’est ce pataquès ?

 

 

 

 

 

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Dino : Messieurs, permettez-moi de vous souhaiter la bienvenue. D'ailleurs, il faut pas rester debout, asseyez-vous, mettez-vous à l’aise.

Peter : Merci Monsieur, c’est très gentil.
Steven : C’est une leçon de savoir-vivre.

Dino : C’est naturel. Mais dites-moi plutôt ce que je peux faire.

 

 

 

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Dave : Dites-moi, pendant que je vous tiens, là, ça veut dire quoi « monde de merde », sans être indiscret ?
George : Tu te réveilles à 35 ans pour te demander ce que ça veut dire « monde de merde » ? C'est pas que tu es indiscret, c'est juste que tu es un con. En disant « monde de merde », j'ai voulu dire que le monde allait mal. C'est un cri de révolte que j'ai lancé à mes frères opprimés. Finissons-en avec la résignation et l'indifférence. Ouvrons les yeux ! Partout l'injustice, le nationalisme, l'exclusion, ça me débecte.

 

 

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George : Tu as déjà entendu parler de l’hégémonie du grand capital ?

Dave : Nan.
George : Tu t’intéresses pas à la politique. Ben tu devrais. Faut se mettre au travail, afin de vaincre les fanascismes. C’est un concept à moi, ça dénonce à la fois les fascistes et les fanatiques.
Dave : Merci Monsieur Abitbol, vous m’avez ouvert les yeux.
George : Regarde plutôt la route. [Ils se crashent et leur voiture prend feu.] Ah, monde de merde !

Dave : Ouais moi aussi j’ai bien envie de le dire. Monde de merde !

 

 

 

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Dino : Où j’ai connu George ? C’est une excellente question. À la ferme.

L’ami de Dino : La ferme ? Quelle ferme ?
Dino : Ah la ferme ta gueule toi, ducon, espèce de crétin. Qu’est-ce que tu veux, nous prendre la tête, là ? Pauvre con. Oui je l’ai connu à la ferme. On était des cowboys. On vivait à la ferme, ça a rien d’étonnant !
L’ami de Dino : Merci, c’est très agréable. Non mais c’est vrai, je me fais engueuler devant des journalistes qu’on connaît même pas. C’est classe, bravo.

Steven : Oh ça va, on vous fait pas chier, là ? Non c’est sûr. Non mais je rêve.

 

 

 

 

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Dino : Mais je te reconnais, toi, je t’ai déjà vu quelque part. Je suis sûr que je te reconnais.

Frankie : Désolé, mais c’est moi qui te reconnais. Je t’ai vu le premier. Toi tu m’as vu en deuxième, vu ?
Dino : Ben je t’ai vu le deuxième alors, voilà.
Frankie : Perdu ! C’est aussi moi qui t’ai vu le deuxième.
Dino : Oh dis donc, tu es super fort.
Frankie : Mais je suis pas super fort, je suis mieux que ça même, je suis surpuissant.

Dino : [A lui-même] Bon, ben lui il va me prendre la tête...

 

 

 

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Peter : Ah, un restaurant mexican food. Zeb ! C’est pas vrai. Buenas noches.

José : Mais tu parles espagnol ?
Peter : Un poquito.

José : Et tu crois que tu m’impressionnes ? Moi je sais dire « allons à la plage, monsieur renard » : « vamos a la playa, señor zorro ». Est-ce que tu aimerais te bâfrer un chili con carne ?

 

 

 

 

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Peter : Un bon chili con carne, d’habitude, je suis partant. Mais là, je… je fais un régime, à base de... à base de ouiches lorraines.

José : Excuse-moi, à base ?
Peter : À base de ouiches lorraines. C’est des petites tartes.
José : Eh, non mais pour qui tu me prends, je rêve ! La fromagerie en bas de chez moi, elle vendait trois choses : du fromage, des ouiches lorraines et de la bouffe chinoise. Alors toi, mec, avec tes régimes à la con, tu me fais bien marrer. Tu as devant toi le spécialiste de la ouiche lorraine. Le spécialiste des travers de porc sel-poivre. À vingt-trois ans j’ai gagné le concours du meilleur cuisinier asiatique en leur préparant un... un méchoui.
Peter : Un méchoui ? Tu pipeautes pas un peu, toi ?

José : Jamais je pipeaute.

 

 

 

 

 

 

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Dino : Et voilà, c’est pour ça que je l’ai appelé mon vieil ami Jacques. Je veux pas dire, mais c’est un mec qui a vraiment plein de qualités.
Peter : Ouais, moi je me demande quand même s’il était pas un peu con.

 

 

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Steven : Dis donc, je pensais à un truc. Tu l’as achetée où, ta veste ?

Peter : En même temps que mon fute, chez un mec dans les Vosges, tu connais pas.

Steven : Ah, ouais, ouais. C’est vrai que tu es vosgien, toi.

 

 

 

 

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Professeur Hammond : Purée ! Ah, ah, ça, j’aime ! Ah ah ah, vous arrivez, vous êtes même pas chez vous... Vous vous pointez avec trois quarts d’heure de retard, pas bonjour, pas merci, vous filez tout droit au frigo, vous prenez la dernière bière... Ah ah, vous, vous êtes un sacré sans-gêne !

Steven : Merci. Oh, arrêtez, vous me gênez, je vais rougir. En réalité, j’aimerais que... Que vous me parliez de votre papa. De Joël Hammond, c’est possible ?

Professeur Hammond : Bien sûr, c’est possible. Je vais vous raconter une histoire pas banale.

 

 

 

 

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Dino : C’est George qui a besoin d’aide. Il ne supporte plus la vie au Texas, pas de clim’ quand il fait chaud, pas de téléphone, pas de télé, pas de chauffage... Bref, il supporte mal de ne pas avoir une vie moderne. Ça le rend irritable. Hier...

L’homme qui veut lui parler : Bonsoir George, j’aimerais beaucoup vous parler... [George lui met un gros pain dans la face]

George : Si tu veux me parler, envoie-moi un... fax !

 

 

Bref , on est partis à la cambrousse ....Ca faisait longtemps !

 

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On dirait un fanatique
De la cause halieutique,
Avec sa belle canne et
Son moulinet.
Mais s’il pêche, c’est pour rire,
Et l’on peut être certain
Que jamais sa poêle à frire
Vit le plus menu fretin.

La pêche, à ce qu’on raconte,
Pour lui n’est en fin de compte
Qu’un prétexte, un alibi -
On connaît pis -
Un truc, un moyen plausible
De fuir un peu son chez-soi
Où sévit la plus nuisible
Des maritornes qui soient.

Avec une joie maligne,
Il monte au bout de sa ligne
Tout un tas d’objets divers
Des bouts de fer,
Des paillassons, des sandales,
Des vieilles chaussett’s à clous,
Des noyés faisant scandale
Aussitôt qu’on les renfloue.

Si, déçu par une blonde,
Pensant faire un trou dans l’onde,
Tu tiens plus à te noyer
Qu’à te mouiller,
Désespéré, fais en sorte
D’aller piquer ton plongeon,
De peur qu’il ne te ressorte,
A l’écart de son bouchon.

Quand un goujon le taquine,
Qu’un gardon d’humeur coquine
Se laisse pour badiner
Hameçonner,
Le bonhomme lui reproche
Sa conduite puérile,
Puis à sa queue il accroche
Un petit poisson d’avril.

Mais s’il attrape une ondine,
L’une de ces gourgandines,
Femme mi-chair mi-poisson,
Le polisson -
Coup de théâtre - dévore
Tout cru le bel animal :
Une cure de phosphore,
Ça peut pas faire de mal.

Quand il mourra, quand la Parque
L’emmènera dans sa barque,
En aval et en amont,
Truites, saumons,
Le crêpe à la queue sans doute,
L’escorteront chagrinés,
Laissant la rivière toute
Vide, désempoissonnée.

Lors, tombés dans la disette,
Repliant leurs épuisettes,
Tout penauds, tout pleurnicheurs,
Les vrais pêcheurs
Rentreront chez eux bredouilles
Danser devant le buffet,
Se faisant traiter d’andouilles
Par leur compagne. Bien fait!

 

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Il était cinq heures du matin
On avançait dans les marais
Couverts de brume
J'avais mon fusil dans les mains
Un passereau prenait au loin
De l'altitude
Les chiens pressés marchaient devant
Dans les roseaux
Par dessus l'étang
Soudain j'ai vu
Passer les oies sauvages
Elles s'en allaient
Vers le midi
La Méditerranée
Un vol de perdreaux
Par dessus les champs
Montait dans les nuages
La forêt chantait
Le soleil brillait
Au bout des marécages
Avec mon fusil dans les mains
Au fond de moi je me sentais
Un peu coupable
Alors je suis parti tout seul
J'ai emmené mon épagneul
En promenade
Je regardais
Le bleu du ciel
Et j'étais bien
Par dessus l'étang
Soudain j'ai vu
Passer des oies sauvages
Elles s'en allaient
Vers le midi
La Méditerranée
Un vol de perdreaux
Par dessus les champs
Montait dans les nuages
La forêt chantait
Le soleil brillait
Au bout des marécages
Et tous ces oiseaux
Qui étaient si bien
Là-haut dans les nuages
J'aurais bien aimé les accompagner
Au bout de leur voyage
Oui tous ces oiseaux
Qui étaient si bien
Là-haut dans les nuages
J'aurais bien aimer les accompagner
Au bout de leur voyage

 

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Le pêcheur peut se mettre en colère
Charlélie Couture
Il fait déjà si chaud
Les poissons sont sous l'eau
Et les esthéticiennes astiquent la peau
De celles qui font tout c'qu'y faut
Pour souffrir loin de leur bureau
Sous le soleil ou plus exactement sur des galets blanchis
Y a d'la chair huilée qui dort
Qui se dore et s'adore pour le sport
Comme d'autres gonflent leurs branchies
Les gens respirent quand ils bronzent
Comme d'autres aspirent à être des bonzes
Derrière les joncs pointus coupants
L'étang latent attend que passe les taons
Et d'autres insectes qui gigotent tout l'temps
Comme une armée de vieux combattants
Qui s'assied dans un café et qui discute
Des souvenirs qui s'dispute
Derrière un vieux saule cassé
Un homme triste en a assez
D'avoir sué sué pour les mouches
Sans que jamais personne ne touche
Au gros ver rouge qui pend au fond
Des trous mouillés qui s'font et s'défont
La la la la la
Le tonnerre gronde comme un bombardement
Les mères s'affolent les enfants courent
Y'a plus d'amis y'a plus d'amants
C'est le grand chambardement
Mais l'pêcheur ricane sous ses lunettes
Il sait qu'il va remplir son épuisette
Car le pêcheur est un homme sage
Qui croit aux mirages il a pas peur de l'orage
Il est patient comme un oracle
Il croit aux miracles
Que celui qu'a jamais pêché
Evite de lancer
La première pierre
Dans la rivière
Ça fait peur aux poissons
Aux goujons aux ablettes
Aux perches aux rousses
Aux tanses zut aux tanches
Aux brèmes aux brochets
Aux barbots aux anguilles etc. bon
La la la la la

 

 

 

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Terre brûlée au vent
Des landes de pierre,
Autour des lacs,
C'est pour les vivants
Un peu d'enfer,
Le Connemara.

Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C'est le décor
Du Connemara.

Au printemps suivant,
Le ciel irlandais
 
Etait en paix.
Maureen a plongé
Nue dans un lac
Du Connemara.

Sean Kelly s'est dit :
"Je suis catholique.
Maureen aussi."
L'église en granit
De Limerick,
Maureen a dit "oui".

De Tiperrary
Ballyconneely
Et de Galway,
Ils sont arrivés
Dans le comté
Du Connemara.
 

Y avait les Connor,
Les O'Conolly,
Les Flaherty
Du Ring of Kerry
Et de quoi boire
Trois jours et deux nuits.

Là -bas, au Connemara,
On sait tout le prix du silence.
Là -bas, au Connemara,
On dit que la vie
C'est une folie
Et que la folie,
Ça se danse.

Terre brûlée au vent
Des landes de pierre,
 
Autour des lacs,
C'est pour les vivants
Un peu d'enfer,
Le Connemara.

Des nuages noirs
Qui viennent du nord
Colorent la terre,
Les lacs, les rivières :
C'est le décor
Du Connemara.

On y vit encore
Au temps des Gaels
Et de Cromwell,
Au rythme des pluies
Et du soleil,
Au pas des chevaux.
 

On y croit encore
Aux monstres des lacs
Qu'on voit nager
Certains soirs d'été
Et replonger
Pour l'éternité.

On y voit encore
Des hommes d'ailleurs
Venus chercher
Le repos de l'âme
Et pour le cœur,
Un goût de meilleur.

L'on y croit encore
Que le jour viendra,
Il est tout près,
 
Où les Irlandais
Feront la paix
Autour de la croix.

Là -bas, au Connemara,
On sait tout le prix de la guerre.
Là -bas, au Connemara,
On n'accepte pas
La paix des Gallois
Ni celle des rois d'Angleterre...

 

 
 

 

 

 

 

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Le Pêcheur peut se mettre en colère
“Le tonnerre gronde comme un bombardement
Les mères s’affolent les enfants courent
Y a plus d’amis y a plus d’amants c’est le grand chambardement
Mais le pêcheur ricane sous ses lunettes
Il sait qu’il va remplir son épuisette
Car le pêcheur est un homme sage
Qui croit au mirage il a pas peur de l’orage
il est patient comme un oracle
il croit aux miracles”

 

 

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Fais comme l'oiseau
Ça vit d'air pur et d'eau fraîche, un oiseau
D'un peu de chasse et de pêche, un oiseau
Mais jamais rien ne l'empêche, l'oiseau, d'aller plus haut

Mais je suis seul dans l'univers
J'ai peur du ciel et de l'hiver
J'ai peur des fous et de la guerre
J'ai peur du temps qui passe, dis
Comment peut on vivre aujourd'hui
Dans la fureur et dans le bruit
Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdu

Fais comme l'oiseau
Ça vit d'air pur et d'eau fraîche, un oiseau
 
D'un peu de chasse et de pêche, un oiseau
Mais jamais rien ne l'empêche, l'oiseau, d'aller plus haut

Mais l'amour dont on m'a parlé
Cet amour que l'on m'a chanté
Ce sauveur de l'humanité
Je n'en vois pas la trace, dis
Comment peut on vivre sans lui ?
Sous quelle étoile, dans quel pays ?
Je n'y crois pas, je n'y crois plus, je suis perdu

Fais comme loiseau
Ça vit d'air pur et d'eau fraîche, un oiseau
D'un peu de chasse et de pêche, un oiseau
Mais jamais rien ne l'empêche, l'oiseau, d'aller plus haut
 

Mais j'en ai marre d'être roulé
Par des marchands de liberté
Et d'écouter se lamenter
Ma gueule dans la glace, dis
Est-ce que je dois montrer les dents ?
Est-ce que je dois baisser les bras ?
Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdu

Fais comme l'oiseau
Ça vit d'air pur et d'eau fraîche, un oiseau
D'un peu de chasse et de pêche, un oiseau
Mais jamais rien ne l'empêche, l'oiseau, d'aller plus haut

Chanson inspirée de Vocé Abousou de Joao Carlos et Jocafi

 

 

 

 

 

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Ma famille habite dans le Loir et Cher,
Ces gens-là ne font pas de manières.
Ils passent tout l'automne à creuser des sillons,
A retourner des hectares de terre.
Je n'ai jamais eu grand chose à leur dire
Mais je les aime depuis toujours.
De temps en temps, je vais les voir.
Je passe le dimanche dans l'Loir et Cher.

(Refrain)
Ils me disent, ils me disent :
"Tu vis sans jamais voir un cheval, un hibou."
Ils me disent :
"Tu viens plus, même pour pécher un poisson.
Tu ne penses plus à nous.
 
On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous.
On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous."

Chaque fois que je m'arrête dans le Loir et Cher,
Ils ne m'laissent plus partir de chez eux.
Je leur dis qu'il faut que je rentre sur Paris,
Que je ne fais pas toujours ce que j'veux
Et qu'il faut que je trouve encore un poste d'essence
Que j'n'ai pas le temps de finir ma bière
Et que je reviendrai un de ces dimanches
Passer la nuit dans le Loir et Cher.

 
(refrain)
Ils me disent, ils me disent :
"Tu vis sans jamais voir un cheval, un hibou."
Ils me disent :
"Tu viens plus, même pour pécher un poisson.
Tu ne penses plus à nous.
On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous.
On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous."

"On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous.
On dirait que ça te gêne de marcher dans la boue,
 
On dirait que ça te gêne de dîner avec nous."

 

 

Piob Mhor de ses morts !

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29/06/2024
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