La taverne d\' Engy

La taverne d\' Engy

Regarde comme c' est beau l' Alsace !

Une superbe journée en Alsace dans un village de potiers avec la madame ! Merci à elle , le dépaysement à deux heures de chez nous ! Question : pourquoi les Lorrains ont de grandes oreilles ? Parce que lorsqu' ils sont petits , leurs parents les soulèvent par les oreilles pour leur montrer ce qui se trouve au delà de la ligne bleue des Vosges en disant : regarde comme c' est beau l' Alsace !

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 Une superbe journée en Alsace dans un village de potiers avec la madame ! Merci à elle , le dépaysement à deux heures de chez nous ! Au resto en Alsace , ca cause en trois langues , le Français , l' Allemand et l' Alsacien ! Alsace , son climat tropical en été , j'ai eu chaud la race de mes morts ! Question : pourquoi les Lorrains ont de grandes oreilles ? Parce que lorsqu' ils sont petits , leurs parents les soulèvent par les oreilles pour leur montrer ce qui se trouve au delà de la ligne bleue des Vosges en disant : regarde comme c' est beau l' Alsace ! 

 

 

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C' est une autre culture ! En route pour l' Alsace , mon vieux Milou !

 

Situé du côté nord de l'Alsace, dans le « Pays de Haguenau, Forêt et Terre de Potiers », Soufflenheim est renommé pour son artisanat potier typiquement alsacien dont les fameux moules à kougelhopf et les terrines à baeckeoffe. Découvrez à travers ces pages, l'histoire de Soufflenheim et de son artisanat ancestral, les informations pratiques pour visiter les poteries et organiser votre venue, les manifestations, la Sainte Cène, sculpture en céramique reconstituée en grandeur nature d'après l'œuvre de Léonard de Vinci, l'église Saint-Michel, le golf international Soufflenheim - Baden-Baden...

 

 

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 Au resto en Alsace , ca cause en trois langues , le Français , l' Allemand et l' Alsacien ! Alsace , son climat tropical en été , j'ai eu chaud la race de mes morts ! Résumons ma pensée du jour : Né à NANCY dans une famille Lorraine , j' ai pourtant 2 arrière grands parents sur 8 originaires d' Alsace ! Ce qui fait des ancêtres Alsacos à la pelle !

 

Et les Triboques s’installèrent à Brumath
Le grand César les mentionne dans sa Guerre des Gaules et l’érudit Ptolémée dans sa Géographie : les Triboques, alliés des Romains, édifièrent Brocomagus, cité appelée à rayonner dans toute l’Alsace gallo-romaine. Avant de devenir Brumath. Strasbourg remonte le temps et lui rend hommage.

 

 

Regarde comme c' est beau l' Alsace !

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Belge , tu es , Belge tu dois rester ! Bon , natif de Lorraine , né dans la capitale avec des parents de Nancy et des grands parents lorrains , je n' en ai pas moins deux branches d' ancêtres Belges , Wallons descendus en Ardennes et devenus lorrains par la branche maternelle et du côté paternel , des gens du voyages , commerçants et artisans ambulants mariés à des alsaciens réfugiés en Lorraine suite aux guerres et annexions ! Autrement dit , en allant en Alsace cette semaine et en Belgique sous peu , je renoue le fil distendu , distendue , t' es tendue Natacha , tendue comme un string ! Je vais chercher le poney ! Nous vivons en Moselle , département Lorrain frontalier avec l' Allemagne , l' Alsace , le Luxembourg et à deux heures à peine de la Belgique ! Nous allons visiter Bruxelles cet été et sans doutes un peu de temps sur la côte belge ensuite ! La Belgique , j'ai dû y aller dix fois dans ma vie , voyage scolaire au château de Godefroy de Bouillon ( premier Duc de Lorraine ) , concerts et festivals folks , fêtes médiévales , ect .... Dans mes recherches généalogiques , j'ai eu la confirmation de mes origines Belges par deux branches distinctes , du côté de ma grand mère maternelle , il y a des Belges Wallons du XIX eme siècle descendus en Ardennes puis devenus lorrains dans le bassin de Longwy et en Meuse ! Et du coté de ma grand mère paternelle , des gens du voyage blonds ou roux , vivant en roulottes , tressant des paniers et bossant sur les marchés , une branche s' est sédentarisée un siècle à Nancy , se mariant à des Alsaciens et des Lorrains ! Demain , visite en Alsace ! Heimat ! Belge , tu es , Belge , tu dois rester ! En route pour le Belgistan mon vieux Milou ! Engoulevent , Fierpied , Sac à vent , Soucolline de Hobbitbourg ... La vie d' Engoulevent , le marchand de vent ! Et pendant ce temps , sur les Terres Ancestrales du Clan Mac Burgh ! Tu ferais bien de garder ton souffle pour refroidir ton porridge , Mac Gregor ! J' adore les lamas ! Quand lama fâché , lui toujours faire ainsi ,Tintin ! Tonnerre de Brest ! C' est une autre culture ! Engy Papa Ouannov Diantalvic a parlé , à vous les studios ! Bretagne ou Miami ? Belgistan ! En route pour le Belgistan mon vieux Milou !

 

 

 

 

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Nous vivons en Moselle , département Lorrain frontalier avec l' Allemagne , l' Alsace , le Luxembourg et à deux heures à peine de la Belgique ! Nous allons visiter Bruxelles cet été et sans doutes un peu de temps sur la côte belge ensuite ! La Belgique , j'ai dû y aller dix fois dans ma vie , voyage scolaire au château de Godefroy de Bouillon ( premier Duc de Lorraine ) , concerts et festivals folks , fêtes médiévales , ect .... Dans mes recherches généalogiques , j'ai eu la confirmation de mes origines Belges par deux branches distinctes , du côté de ma grand mère maternelle , il y a des Belges Wallons du XIX eme siècle descendus en Ardennes puis devenus lorrains dans le bassin de Longwy et en Meuse ! Et du coté de ma grand mère paternelle , des gens du voyage blonds ou roux , vivant en roulottes , tressant des paniers et bossant sur les marchés , une branche s' est sédentarisée un siècle à Nancy , se mariant à des Alsaciens et des Lorrains ! Demain , visite en Alsace ! Heimat ! Belge , tu es , Belge , tu dois rester !

 

 

 

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Belge , tu es , Belge tu dois rester ! Bon , natif de Lorraine , né dans la capitale avec des parents de Nancy et des grands parents lorrains , je n' en ai pas moins deux branches d' ancêtres Belges , Wallons descendus en Ardennes et devenus lorrains par la branche maternelle et du côté paternel , des gens du voyages , commerçants et artisans ambulants mariés à des alsaciens réfugiés en Lorraine suite aux guerres et annexions ! Autrement dit , en allant en Alsace cette semaine et en Belgique sous peu , je renoue le fil distendu , distendue , t' es tendue Natacha , tendue comme un string ! Je vais chercher le poney !

 

 

 

 

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Les Triboques (latin Triboci ou Tribocchi) sont un peuple germanique (même si certains auteurs pensent qu'ils étaient celtes) qui occupait (au sens archéologique) la plaine d'Alsace et l'Ortenau dans l'antiquité. Leur capitale à l'époque romaine est Brocomagus. L'une de leurs fortifications s'appelle Tribunci, près de Lauterbourg.
 
Medru (ou Mider) était leur dieu principal, parmi les autres dieux germains qu'ils vénéraient.
 
Nom et origine
 
Cippe romaine de Marcus Attonius Restitutus, négociant marchand de comestibles de la cité des Triboques. Musée gallo-romain de Fourvière à Lyon. CIL XIII 2018.
 
À côté des formes Triboci et Tribocci, on trouve à l'accusatif pluriel Triboces. Pline parle des Tribochi et Strabon des Tribocchoi. Jules César écrit aussi les Tribucorum.
 
Les Triboques faisaient partie de la coalition d'Arioviste, à côté des Némètes et des Vangions. Strabon les situe en Alsace. Selon les Romains de cette époque, les Triboques seraient assimilés aux Germains et Tacite les décrit comme « évidemment germains » avec les Némètes et les Vangions. Cependant, sur la rive gauche du Rhin, la notion de Germania est une création romaine, un district militaire, englobant aussi des peuples plus sûrement celtiques comme les Lingons.
 
Par ailleurs, on peut voir au Musée Archéologique de Strasbourg une inscription provenant de Brumath. Les noms de notables triboques qui y figurent sont soit latins, soit celtiques. Pas un seul n'est germanique.
 
Jules César en 58 av. J.-C., retraçant sa bataille finale contre Arioviste signale cette peuplade : « Alors les Germains, contraints et forcés, se décidèrent à faire sortir leurs troupes : ils les établirent, rangées par peuplades, à des intervalles égaux, les Harudes, Marcomans, Triboques, Vangions, Némètes, Sédusiens, Suèves [...] ».
 
Strabon, au début de l'empire, mentionne : « Après les Helvètes, les habitants des bords du Rhin sont les Séquanes et les Médiomatriques ; chez ceux-ci se sont établis les Triboques, peuple germanique qu'on a fait passer de ses foyers dans cette contrée. » En clair, la Haute Alsace est encore tenue par les Séquanes du Jura (ils la cèdent à Arioviste vers 60 av. J.-C.), puis viennent les Médiomatriques, dont le territoire s'étend à l'origine de Metz au Rhin. Cette tribu semble garder un contact avec le Rhin, mais les Triboques sont déjà établis chez eux.
 
Tacite quant à lui, les définit également parmi les Germains : « Quant à la rive même du Rhin ; elle est habitée par des peuples évidemment germains, les Vangions, les Triboques, les Némètes. »
 
Un peuple guerrier
 
Vers 60 av. J.-C., les Suèves sont appelés en renfort par les Séquanes afin de battre les Éduens de Bourgogne. Une fois la victoire acquise, Arioviste annexe un tiers du territoire des Séquanes, lesquels, en compensation, prennent aux Éduens vaincus les rives de la Saône. Le tiers perdu correspond à la Haute-Alsace. Les Triboques font alors partie de la coalition formée autour des Suèves. Dans les années qui suivent, Arioviste fait passer à l'ouest du Rhin 120 000 personnes, soit environ 40 000 combattants. Ces "Germains" sont en réalité les Triboques, les Némètes et les Vangions. Ce faisant, le chef suève se constitue des têtes de pont sur la rive gauche du Rhin. Les Éduens et les Séquanes se réconcilient alors et affrontent Arioviste à Magetobriga. Ils sont battus. Arioviste lui-même sera écrasé en 58 par Jules César.
 
Si les Suèves restent à proximité du Rhin, ils se fixent ensuite en Souabe. Selon l’historien romain Cornélius Tacite, au 1 er siècle apr. J.-C. ils occupent toute la Germanie centrale. Ils se diviseront ensuite en peuplades (dont les Marcomans et les Quades).
 
Il semble probable que l'établissement des Triboques en Basse Alsace soit liée à la demande des Romains, qui leur avaient fixé pour mission de barrer la route aux invasions barbares. Ils ont alors comme capitale Brocomagus (Brumath), tandis que les Rauraques plus au sud ont Augusta Raurica comme capitale.
 
Ces tribus auront longtemps des camps militaires établis le long du Rhin, le plus important étant Argentoratum, dont l'ancien nom celte était Argentorate, et qui allait devenir la ville de Strasbourg.


19/07/2024
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