VILLAGE PEOPLE !
On devrait faire un groupe folk , on appellerait ça LES GENS DU VILLAGE ! Une fine équipe !
Engy De Baskerville ? Votre excellence ! Mac'Tiern d'Arkorelax ! Là , c' est vraiment Hagrid le Gris de la Comté Sacquet ! Ho , merci , quel honneur !!! Evolution en une semaine ! Ma vie en 3 visages ! La nuit est propice à la réflexion, au silence, à la peur aussi. C’est dans l’obscurité qu’on dort, qu’on se tait, qu’on voit les fantômes. La bonne journée , mes siths rouilles ! La pleine lune en octobre , je mute !!!! Il manque ce bon VLAD de Roumanie ! Tonnerre de Brest ! Que le grand cric me croque.... moussaillon ! Mille tonnerres !!! Loin des succubes et des goules !!! Stone , le monde est stone ! Dormi comme une pierre ! C est sur toi que je bâtirai mon Église ! Elle était polie , comme une pierre polie ! Stone , le monde est stone , Henge ! Je ne vous jettes pas la pierre , Pierre ! Il faut collectionner les pierres qu'on vous jette. C'est le début d'un piédestal.Que la force m' accompagne ! J' ai réussi à marcher une heure entre SCY BAS et LONGEVILLE LES METZ ! La bonne soirée ! Et la calotte de vos morts , les goules ! La bonne soirée ! Et gare à ta goule ! Votre excellence ! Bientôt un bal ? POUR UN BAIN ! Et douces .... Me voilà en repos ! Et la calotte de vos morts , les goules ! On va pas se mentir , le mois d' octobre , ce sont des promenades dans les bois , des feuilles mortes , des champignons , des filles aux tresses blondes qui mangent des saucisses énormes , des bretzels partout , des trompettes qui font pouap , de la choucroute et de la bière , on ne regrette pas sa soirée ! Et ensuite , des masques qui font peur , encore de la bière , du whisky , du chouchen , de l' hydromel ! Des citrouilles et des bougies , des musiques qui font peur ! Et les portes sont ouvertes entre le monde des morts et celui des vivants ! Kiri , c' est blanc , Kirikou, c' est noir , Ara Kiri c'est , jaune !
Le patron du journal : Où vous en êtes avec la nécro de George Abitbol ? Vous bossez un peu ? Mmh ?
Peter : On vient de s’y mettre, mais on a déjà quelques petites idées.
Steven : On va interroger des tas de gens, tous ceux qui l’ont aimé, qui l’ont haï, bref tous ceux qui l’ont approché, qui l’ont connu. Ça fait déjà du boulot.
Le patron du journal : Quoi d’autre ?
Peter : Ah et puis c’est pas tout.
Steven : Oui, on a pensé qu’on devait expliquer ses dernières paroles.
Le patron du journal : Monde de merde ? Vous avez raison.
Peter : Oui, on en a chié pour trouver cette idée, on a été charrette.
Le patron du journal : L’homme le plus classe du monde meurt, et ses dernières paroles c’est « monde de merde ». Pourquoi il a dit ça ? C’est ce que je veux savoir.
Steven : Merci, c’est pas facile à trouver.
Le patron du journal : C’est sûrement un nom. Si c’est une femme, je veux savoir quelle femme, si c’est un cheval je veux savoir dans quelle course.
Peter : Nous, on pensait que ça pouvait être un traineau.
Dave est parti chercher George en voiture, qui lui explique finalement le sens de sa phrase « monde de merde » : un cri de révolte à l’encontre de l’injustice qu’il voit partout. Dave conduit distraitement et ils sont victimes d’un grave accident. George dit à nouveau sa fameuse phrase, et Dave la répète après lui.
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