VIVE L' EMPEREUR !!!

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VIVE L' EMPEREUR !!!

César , ce bienfaiteur ! Lui , il a voulu être empereur , mais ça n' a pas marché ! De pire Empire ! Dans la brume , tous les romains sont gris !

Jules César : "Guerre des Gaules" - Livre VII (52 av. J.-C.) : "À ce moment, une clameur s'éleva de tous les points de la ville ; ceux qui étaient loin, effrayés de ce soudain tumulte, crurent que l'ennemi avait franchi les portes et sortirent de la place précipitamment. Les mères de famille jetaient du haut des murs des étoffes et de l'argent et, le sein découvert, penchées sur la muraille et tendant leurs mains ouvertes, elles suppliaient les Romains de les épargner, de ne pas massacrer, comme ils avaient fait à Avaricum, les femmes même et les enfants (.../...)."

Jules César : "Guerre des Gaules" - Livre III (57-56 av. J.-C.) : "Les jours suivants, César décida de les employer sans relâche à abattre la forêt, et, pour que nos soldats ne pussent être surpris, sans armes, par une attaque de flanc, il disposait face à l'ennemi tous les arbres coupés et les amoncelait sur chaque flanc en manière de rempart. On avait fait en quelques jours, et avec une rapidité incroyable, une vaste clairière, et dejà nous nous étions emparés du bétail de l'ennemi, qui s'enfonçait au coeur des forêts (.../...). En conséquence, après avoir ravagé toute la campagne, brûlé les bourgs et les fermes, César ramena son armée et lui fit prendre ses quartiers d'hiver chez les Aulerques et les Lexovii, ainsi que chez les autres peuples qui venaient de nous faire la guerre."

Jules César : "Guerre des Gaules" - Livre IV (55 av. J.-C.) : "Voci comment ils [les Bretons] combattent de ces chars. Ils commencent par courir de tous côtés en tirant : la peur qu'inspirent leurs chevaux et le fracas des roues suffisent en général à jeter le désordre dans les rangs ; puis, ayant pénétré entre les escadrons, ils sautent à bas de leurs chars et combattent à pied. Cependant les conducteurs sortent peu à peu de la mêlée et placent leurs chars de telle manière que, si les combattants sont pressés par le nombre, ils puissent se replier sur eux. Ils réunissent ainsi dans les combats la mobilité du cavalier à la solidité du fantassin (.../...)"