Horton : Une table ronde ? Que diable cela signifie-t-il ?
Jols : Arthur dit que les hommes ne sont des hommes que s'ils sont égaux.
Gauvain (alors que Tristan vient de réussir à planter son couteau sur le bout du couteau lancé par Galahad sur une cible) : Tristan, comment fais-tu ça ?
Tristan : Je vise le milieu.
Arthur : C'est ma foi qui me protège, Lancelot. Pourquoi refuser cela ?
Lancelot : Je n'aime rien de ce qui met un homme à genoux.
Guenièvre : Combien de Bretons avez-vous tué ?
Arthur : Tous ceux qui ont tenté de me tuer. Il est naturel pour l'homme de vouloir vivre.
Guenièvre : Les animaux vivent. Il est naturel pour l'homme de vouloir vivre libre dans son pays. J'appartiens à cette terre, et vous, Arthur, où est votre terre ?
Lancelot : Vous semblez effrayée. Il y a beaucoup d'hommes en face, des hommes prêts à tout.
Guenièvre : N'ayez crainte, je ne les laisserai pas vous violer.
Arthur : Les actes en eux-mêmes n'ont de signification que s'ils servent un idéal élevé. Nous avons mené une guerre pour protéger une Rome qui n'a jamais existée. Est-ce là l'action pour laquelle je serai jugé ?
Cerdic : Arthur. Où que j'aille sur cette île misérable, j'entends ton nom, souvent murmuré comme si tu étais un dieu. Et je ne vois que de la chair et des os, pas plus un dieu que la créature qui te sert de monture.
Arthur : Exprime tes conditions, Saxon.
Cerdic : Les Romains t'ont abandonné. Pour qui te bats-tu ?
Arthur : Je me bats pour une cause qui dépasse les Romains et dépasse ton entendement.
Cerdic : Tu viens implorer une trêve. Tu devrais être à genoux.
Arthur : Je viens voir ton visage afin de pouvoir te repérer sur le champ de bataille et tu devrais prendre également le temps de me regarder, Saxon. Regarde bien ce visage, ce sera l'ultime chose qu'il te sera donnée de voir sur cette terre.
Cerdic (après qu'Arthur soit reparti) : Enfin un homme qui en vaut la peine.
Il y a pire que la mort, il y a la perte de l'espoir.
Voilà le ROI BOLDAV , son fils DAVID et ses preux chevaliers !
Je viens voir ton visage, afin de pouvoir te repérer sur le champ de bataille. Tu devrais également prendre le temps de me regarder Saxon. Regarde bien ce visage ce sera l'ultime chose qu'il te sera donné de voir sur cette terre.
Aucun sort ne se partage !
Cassez-vous ! Cassez-vous ! Cassez-vous ! Décarrez d’chez moi, bande de clampins ! Taillez-vous vite fait ! Et j’vous conseille de vous mettre au turbin, vous m’entendez ? Et le prochain qui se pointe avec un prototype, un vase à fleurs ou le pot de chambre de sa mamie, j’l’envoie garder les moutons dans les Highlands, pigé ?! Et tenez, reprenez vos merdes ! J'suis pas vide-grenier !
Qu'est ce qu'ils foutent ces cons de Saxons ?
Les cavaliers noirs de Boldavie !
La vie est une chance, saisis la.
« Le plus grand mystère de l’être humain c’est que dans ses limites il peut renfermer l’infini. »
(Nicolae Iorga)
« A bon entendeur, il ne faut qu’une parole »
« La Raison c’est la folie du plus fort. La raison du moins fort c’est de la folie. »
« Il faut écrire pour soi, c’est ainsi que l’on peut arriver aux autres. »
(Eugène Ionesco)
« Le plus grand mystère de l’être humain c’est que dans ses limites il peut renfermer l’infinit. »
(Nicolae Iorga)
PROVERBES
« A bon entendeur, il ne faut qu’une parole. »
« De ce que tu pourras faire, jamais n’entends à autrui. »
« Maille à maille se fait le haubergeon. »
« Tous cherchent le bonheur, peu le trouvent. »
« Une hirondelle ne fait pas le printemps. »
« Renard qui dort la matinée n’a pas la gueule emplumée. »
« Le temps guérit tout. »
« Le travail ennoblit l’homme. »
« L’âge rend sage. »
« On revient toujours à ses premières amours. »
« Qui aime labeur parvient au bonheur. »
« Tous ce qui brille n’est pas d’or. »